L'association AME d'ASIE s'efforce de créer un impact positif et durable en fournissant un soutien vital aux Minorités Ethniques d'Asie. Leur approche holistique englobe non seulement l'éducation et les soins de santé, mais aussi la sécurité alimentaire, la préservation des traditions culturelles et l'accès aux activités récréatives. En se concentrant sur les enfants des régions les plus reculées et les orphelins qui ont été négligés par les grandes organisations humanitaires, AME d'ASIE comble une lacune importante dans le domaine de l'aide humanitaire. De plus, l'association travaille activement à renforcer les liens familiaux en facilitant le maintien du contact et en offrant un soutien continu aux enfants et à leurs parents biologiques. Par son engagement et sa vision inclusive, AME d'ASIE contribue de manière significative à l'amélioration des conditions de vie des populations défavorisées en Asie.
A Phnom Penh, 10 000 enfants passent leurs journées dans la rue à fouiller les détritus. Ils sont sujets à des violences physiques et morales de toutes sortes : maladies, prostitution, drogues… Le gouvernement cambodgien n'est pas en mesure de faire face
Autour de Phnom Penh, 2 personnes entièrement bénévoles, parcourent les campagnes pour distribuer de l’aide auprès des enfants des villages trop éloignés et pas assez importants pour les grandes ONG. Ils apportent aux enfants aides et soins
Les enfants du village Kampong Krabey oubliés des ONG .Ce village n’a jamais reçu aucune aide de quelque nature que ce soit. Ces enfants ne mangent qu’un jour sur deux et cherchent leurs protéines dans les puces d’eau et autres insectes.
Dans les carrières. Nous trouvons des enfants avec des plaies profondes et infectées, occasionnées par les éclats des pierres qu’ils cassent. Il nous faut nettoyer et panser ces blessures.Les lunettes de protection que nous leur offrons, leur destination première qui était de protéger leurs yeux des éclats de pierres, a été détournée et profitent au paysans qui ainsi se protégent des poussières lors du battage du riz.
Des familles entières issues des campagnes cherchent dans cette décharge à ciel ouvert et dans une odeur pestilentielle, un moyen de subsistance.Pour un ½ dollar par jour, ils travaillent nuit et jour dans ce marécage d’ordures en putréfaction.Nombreux sont ceux qui n’en sortiront jamais.Souvent atteints de maladies graves, ils n’ont pas les moyens de se soigner
La fête de l'école commence par une petite tombola pour les 100 enfants de la maternelle, où nous avons mis comme lots les jouets offerts par des membres de l’association.Ensuite, suit une distribution de trousses et de stylos aux 460 enfants et 10 maîtresses et maîtres de l’école.
Action orientée vers les personnes âgées.
Après les enfants, nous aidons aussi les personnes agées isolées qui n’ont plus aucune famille pour les soutenir et sans ressourse. Nous prcédons à une distribution de riz auprès de certaines d’ elles et vérifions leur état de santé.
Distribution à chaque écolier, de quoi se vêtir, 15kg de riz, 2 kg de nouilles, 1 litre de sauce de soja, 1 litre de sauce de poisson, 1kg de sucre en poudre, une paire de tongs, des cahiers, des stylos et des crayons de couleur.Chaque jour, les enfants parcourent 2 heures de marche pieds nus à travers les champs pour venir à l’école
Nous répondons à l’urgence en effectuant 4 distributions de riz et finançons l'entretien de l’école, mais de plus, nous avons organisons dans cette école, une fête pour les 460 élèves. Il nous apparait important pour une fois, de ne pas faire de différence entre les enfants dans une extrême détresse et les enfants en détresse. Bien qu’il nous faille faire un choix lors des distributions vitales de riz entre les mois de Juillet et de Novembre,
L’orphelinat de mère Marie à Dak Lak, est un petit orphelinat sans prétention et sans grand moyen mais combien utile à la population.
Nous n'y avons pas vraiment apporté une aide majeur mais il tient une place importante dans notre coeur car notre association est parie de là.
Dans la décharge de Phnom Penh, les gamins arrivent à 5h du matin pour se jeter sous les camions qui vident leur benne. L'odeur y est pestilentielle, il n'y a rien de comparable. Pendant leur break lunch entre 11h30/14h30 nous en profiterons pour leur donner un petit repas, la composition du repas est variable suivant les moyens que nous avons pour les acheter, nous soignons leurs blessures car ces enfants ont souvent de vilaines plaies. Nous achetons également des vêtements pour les moins de 10 ans, les tout petits étant très souvent nus.
Il y a maintenant, un nombre inquiétant d’enfants atteints de typhoïde. Cette maladie qui dans notre monde est facilement soignable, devient une catastrophe dans ces villages et grand nombre de ces enfants ne s’en remettront pas par manque de moyen. A l’origine de cette épidémie, un insecte qui se trouve dans les fruits que les enfants mangent.
A Phnom Penh, 10 000 enfants passent leurs journées dans la rue à fouiller les détritus. Ils sont sujets à des violences physiques et morales de toutes sortes : maladies, prostitution, drogues… Le gouvernement cambodgien n'est pas en mesure de faire face
Autour de Phnom Penh, 2 personnes entièrement bénévoles, parcourent les campagnes pour distribuer de l’aide auprès des enfants des villages trop éloignés et pas assez importants pour les grandes ONG. Ils apportent aux enfants aides et soins
Des familles entières issues des campagnes cherchent dans cette décharge à ciel ouvert et dans une odeur pestilentielle, un moyen de subsistance.Pour un ½ dollar par jour, ils travaillent nuit et jour dans ce marécage d’ordures en putréfaction.Nombreux sont ceux qui n’en sortiront jamais.Souvent atteints de maladies graves, ils n’ont pas les moyens de se soigner
Dans les carrières. Nous trouvons des enfants avec des plaies profondes et infectées, occasionnées par les éclats des pierres qu’ils cassent. Il nous faut nettoyer et panser ces blessures.Les lunettes de protection que nous leur offrons, leur destination première qui était de protéger leurs yeux des éclats de pierres, a été détournée et profitent au paysans qui ainsi se protégent des poussières lors du battage du riz.
Des familles entières issues des campagnes cherchent dans cette décharge à ciel ouvert et dans une odeur pestilentielle, un moyen de subsistance.Pour un ½ dollar par jour, ils travaillent nuit et jour dans ce marécage d’ordures en putréfaction.Nombreux sont ceux qui n’en sortiront jamais.Souvent atteints de maladies graves, ils n’ont pas les moyens de se soigner
La fête de l'école commence par une petite tombola pour les 100 enfants de la maternelle, où nous avons mis comme lots les jouets offerts par des membres de l’association.Ensuite, suit une distribution de trousses et de stylos aux 460 enfants et 10 maîtresses et maîtres de l’école.
Action orientée vers les personnes âgées.
Après les enfants, nous aidons aussi les personnes agées isolées qui n’ont plus aucune famille pour les soutenir et sans ressourse. Nous prcédons à une distribution de riz auprès de certaines d’ elles et vérifions leur état de santé.
Distribution à chaque écolier, de quoi se vêtir, 15kg de riz, 2 kg de nouilles, 1 litre de sauce de soja, 1 litre de sauce de poisson, 1kg de sucre en poudre, une paire de tongs, des cahiers, des stylos et des crayons de couleur.Chaque jour, les enfants parcourent 2 heures de marche pieds nus à travers les champs pour venir à l’école
Nous répondons à l’urgence en effectuant 4 distributions de riz et finançons l'entretien de l’école, mais de plus, nous avons organisons dans cette école, une fête pour les 460 élèves. Il nous apparait important pour une fois, de ne pas faire de différence entre les enfants dans une extrême détresse et les enfants en détresse. Bien qu’il nous faille faire un choix lors des distributions vitales de riz entre les mois de Juillet et de Novembre,
L’orphelinat de mère Marie à Dak Lak, est un petit orphelinat sans prétention et sans grand moyen mais combien utile à la population.
Nous n'y avons pas vraiment apporté une aide majeur mais il tient une place importante dans notre coeur car notre association est parie de là.
Dans la décharge de Phnom Penh, les gamins arrivent à 5h du matin pour se jeter sous les camions qui vident leur benne. L'odeur y est pestilentielle, il n'y a rien de comparable. Pendant leur break lunch entre 11h30/14h30 nous en profiterons pour leur donner un petit repas, la composition du repas est variable suivant les moyens que nous avons pour les acheter, nous soignons leurs blessures car ces enfants ont souvent de vilaines plaies. Nous achetons également des vêtements pour les moins de 10 ans, les tout petits étant très souvent nus.
Il y a maintenant, un nombre inquiétant d’enfants atteints de typhoïde. Cette maladie qui dans notre monde est facilement soignable, devient une catastrophe dans ces villages et grand nombre de ces enfants ne s’en remettront pas par manque de moyen. A l’origine de cette épidémie, un insecte qui se trouve dans les fruits que les enfants mangent.